Pour conclure, tous les
ponts ont des structures différentes comme le pont suspendu, le pont
à haubans ou bien le pont à poutres.
Pour leur conception, les
ingénieurs et les architectes doivent donc bien réfléchir
avant d'agir car ceux-ci sont soumis à des contraintes. Il existe
tout d'abord les contraintes environnementales comme la sensibilité au vent et aux
séismes qui sont source de phénomène de résonance, sans oublier la température.
Mais pas seulement, les
contraintes qui sont liées aux activités humaines sont elles aussi
importantes pour la construction et l'exploitation d'un pont. Les
charges conventionnelles (véhiculaires), les charges exceptionnelles
(passage de chars militaires) et enfin le pas cadencé entrent en considération
dans ces contraintes.
Pour adapter les ponts à
ces différents phénomènes, les ingénieurs (scientifiques)
effectuent différents calculs, mesures et utilisent différentes méthodes, comme nous avons pu l'étudier dans les deux parties
précédentes, pour assurer une sécurité, non seulement au pont mais
aussi à ceux qui l'exploitent et éviter ainsi des destructions
catastrophiques.
Aujourd'hui, grâce au
progrès scientifiques et à l'évolution de la technologie d'ouvrage d'art, l'adaptation des ponts aux contraintes environnementales et humaines est acquise. Cependant, ils continuent à chercher des solutions afin de
développer les structures des ponts selon un nouveau critère
que le Viaduc de Millau possède déjà : l’esthétique.
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